Velair : remises « spéciales déconfinement »
vendredi 8 mai 2020 , par
Elle sera certainement la reine du déconfinement. La bicyclette, permet en effet de concilier déplacement vert et distanciation sociale. Le déconfinement annoncé pour le 11 mai prochain suscite autant d’enthousiasme que de craintes. La peur de la contagion notamment dans les transports en commun engendre de nombreuses inquiétudes. L’alternative la plus crédible est le vélo électrique, moyen de transport individuel, à la fois pratique et écologique.
C’est l’avis du gouvernement qui annonce un plan de 20 millions d’euros afin d’encourager la pratique du vélo.
La start-up Velair se mobilise pour accompagner les français durant le déconfinement. Velair offre 200 à 300 € pour l’acquisition d’un City ou d’un Work, deux best-sellers de sa gamme de vélos électriques. Grâce à cette opération « spéciale déconfinement », limitée dans le temps et en quantité, le prix d’achat de ces VAE est de 890€ au lieu de 1190 et 1090€. Budget qui pourra encore être réduit par les primes mobilité des régions pouvant aller jusqu’à 500 €. Si vous vous déplacez, déplacez-vous safe, déplacez-vous Velair
Velair City
Le City est le vélo hollandais par excellence, idéal pour la ville. Son assise est toujours ultra confortable qu’il soit en crème ou en bordeaux. Il est équipé de roues 28’’, d’un moteur 250W, installé dans le moyeu arrière, d’un feu stop arrière.
Sa batterie LG 36V/10.4 Ah vous offre une grande autonomie, jusqu’à 70Km, pour un poids total de 24 Kg. Élégant, robuste et design, le City vous emmènera partout avec aisance grâce l’assistance électrique. Le City le vrai partenaire de votre quotidien.
Velair Work
Ce vélo, comme son nom l’indique est idéal pour aller travailler. Pliable, il passe partout et vous suit partout même dans le train.
En noir ou vert, il est équipé d’un moteur 250W, installé dans le moyeu arrière, et d’une batterie LG 36V/7.8 Ah qui autorise une autonomie de 50km.
Son feu avant est à leds et son poids de 22kg est un atout bien-être.
Vélo électrique : un phénomène durable
Depuis deux ans, le vélo a le vent en poupe dans toutes les grandes villes. Le mouvement des gilets jaunes puis les grèves liées à la réforme des retraites ont eu raison de la patience des Français pris en otage des embouteillages et les ont incités à remonter en selle.
Cette progression est relayée par les collectivités locales, engagées dans une véritable chasse à la voiture. Suppression des places de stationnement, durée limitée, rues piétonnisées, tout est fait pour dissuader les automobilistes, tandis que les pistes cyclables se multiplient et sécurisent la pratique.
Avec le vélo électrique, adieu les bouchons et la pollution. Des avantages auxquels s’ajoutent un sentiment de liberté renforcé par un stationnement aisé, ainsi que des parcours rapides et sans effort sur plusieurs kilomètres. D’autant que ce moyen de transport est tout indiqué pour les habitants de grande banlieue : les vélos pliables permettant d’emprunter très facilement le train.
Meilleure protection en temps de guerre sanitaire
Avec l’annonce prochaine du déconfinement, le vélo électrique apparait comme la plus sure des alternatives face au transport en commun qui cristallise les angoisses des actifs. Il est en effet difficile d’imaginer que les distances sociales, pourtant indispensables afin d’éviter une seconde vague épidémique, seront respectées dans les espaces étroits et confinés des bus, métros et RER. Quant à ceux qui envisagent déjà de prendre leur voiture pour limiter ce risque, ce sera au prix de nombreuses heures d’embouteillages...
Certains opteront pour les vélos ou les trottinettes partagés. Mais là aussi, le risque sera significatif d’être contaminé par un utilisateur précédent. Mieux vaudra donc disposer de son propre moyen de transport et le vélo électrique personnel répond aux critères les plus exigeants en matière de déplacement sécurisé. Pour cette raison, le gouvernement vient de débloquer 20 millions d’euros, afin d’aider les particuliers à s’équiper et, qu’en vue du déconfinement, de nombreuses agglomérations (Paris, Lyon, Rouen, Nice, Grenoble…) ont créé de nouvelles voies pour les cyclistes.
Le prix du vélo électrique a longtemps été un frein à son acquisition, mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Pour un VAE (Vélo à Assistance Électrique), fiable, solide, et performant, il faut compter en moyenne 1000 € desquels on peut déduire les primes proposées par de nombreuses régions. L’Île-de-France, par exemple, rembourse jusqu’à 500 € du montant total de l’achat. Enfin, pour entretenir ou faire réparer son vélo le gouvernement prévoit une aide individuelle de 50 €.